
Je vais au théâtre
La vérité est dans l’imaginaire.
Eugène Ionesco
« Une incertitude se trouve à l'origine de ces questions : aimer, ne pas aimer le théâtre ? Y aller, le fuir ou, plus calmement, l'éviter ?... Le théâtre s'évanouit, il fuit et il nous laisse les mains vides. Mais, du théâtre on ne peut se séparer car il est ombre du monde et du moi » (Georges Banu, Amour et désamour du théâtre). J'ai créé Je vais au théâtre pour essayer de « transmettre aux autres l’Aleph infini que ma craintive mémoire embrasse à peine », comme le disait Borges. Le théâtre est pour moi l’Aleph magique, une apparition immédiate et éphémère ; un point à partir duquel on peut observer l'ensemble de l'univers et capturer une réalité complexe ; un moment unique et fugace… mais qui peut durer éternellement. Bienvenue !


Réveil : La vie au cœur du théâtre de Pippo Delbono



« Danser à l’envers » : La vie est une fête



Dessiner le passé, tracer l’avenir : Yinka Esi Graves



Pina Forever de Boris Charmatz



Lumières et Ombres : la magie fragmentée de Joël Pommerat



Liberté Cathédrale et la genèse du geste



Une autre Bérénice



Stivalaccio Teatro au Théâtre Hébertot



Notre vie dans l’art : le Théâtre du Soleil et Stanislavski



L’aura des Émigrants de Krystian Lupa



Invisibili : « triomphe de la danse »



L’Expérience de l’Arbre : « un morceau de passé renfermé dans l’éventail »



Alfred et Violetta : marionnette, fleur et guerrier



Le corps qui raconte la guerre : Guerre de Louis-Ferdinand Céline



Le mythe, l’image et la transmission : les femmes dans Les Héroïdes



« Danse » du corps dans Misericordia d’Emma Dante



De l’autre côté : Edelweiss (France Fascisme) de Sylvain Creuzevault



Believers



Lalalangue ou l’histoire d’une famille



A Noiva e o Boa Noite Cinderela



La folle histoire de France



Welfare de Julie Deliquet



Pourquoi les vieux… In Itinere Collectif



Extinction de Julien Gosselin
